Un clan caché

Au bout de 2 jours de course effrèenée, Nalia arriva a la chute sacrée. Elle jeta un regard circulaire autour d'elle, épuisée. Sa joie n'était pas encore retombée. Au contraire, elle avait doublé depuis qu'elle avait senti... Elle ne savait trop quoi. Son instinc lui avait dit de s'arrêté ici. Malgré le soleil de midi, Nalia s'endormit. Elle rêva qu'elle rencontrait sa mère, une magnifique jument blanche, et son père, étalon pur et noir. Tout deux de puissants mustangs libres et justes. Alertée par un soudain bruit, la jeune jument se réveilla en sursaut et en 2 temps trois mouvements, elle était debout, prête a ruer. Penchée sur elle, une jument aussi blanche que Plume, la dévisageait avec intrigation. Reconnaissant ce visage, Nalia cria de joie.

-Maman ! Je t'ai vu en rêve ! Je savais que je te trouverais ! Tout ça n'est pas un hasard ! Je savais que la magie existait ! Je le savais ! Tu es vivante ! Quel est ton nom !

La belle inconnue ouvrit de grand yeux. Même devant l'expression ahurie et désemparée de celle qu'elle prenait pour sa mère, la joie de Nalia ne tomba point. Elle savait. Savait que sa mère la reconnaitrait. La belle blanche la regarda, puis fondit en larmes. en larmes de bonheur.

-C'est impossible... Murmura l'inconnue. Sa ne se peut pas ! Mes prières ont finalement porté fruit ! Tu es ma fille ! Nalia ! Non, c'est impossible ! Tu ne peux pas... Je t'ai perdue alors que moi et ton père étions a la recherche de fruits pour la cérémonie de ta batisation ! nous t'avons laisser en haut d'une petite bute, que nous n'avaons jamais pu retrouver ! Tu étais si petite si frêle... Tu t'es surement fait mangé par un puma ! C'est impossible !

La réponse de l'inconnue estomaqua Nalia. Comment avait elle pu deviner le nom qu'elle s'était elle-même donnher ? C'était totalement impossible !

-Maman ! J'ai été recueillie par un couple d'inconnus ! Mais, comment a tu su mon nom ? Je me le suis donn. moi même !

-Nalia... Le nom d'un enfant est gravé dans son coeur a jamais, si le Rite èa été respecté.

-Quel rite ? Nalia était intriguée par les propos de sa mère.

-Beaucoup de clan ont oublier au fil des ans le Rite. Il s'agit simplement de lui chuchoter son nom, et le nom de ses parents pendant toute une nuit, avec la douceur et l'amour que nous ressantons pour lui, nous le parents. Tu dois te souvenir de mon nom. Pense-y bien.

-Anamanel... et mon père s'appelle Tempête. Mon clan est le clan Alacta. Maman !

-Ma chérie ! Rendort toi, demain nous ferons connaissance.

Heureuse que la magie maternelle ait fait son effet, Nalia s'endormit. Mais une question lui traversa l'esprit, la réveillant sur le champs:

-J'ai trouvé un clan ou j'habite maintenant. Il n'est pas si loins. Comment ce fait-il que je n'ai jamais entendu parler de mon clan d'origine ?

-Nous voulons garder notre existance secrète, pour nou sprotégé des dominants. La dominance a fait beaucoup de ravages au sein de nous, alors nous l'avons chassé. Je t'expliquerai tout cette nuit, quand tu seras reposée. J'ai toujours trouvé qu'il est plus facile de s'exprimer la nuit, sous le regard des étoiles. Endort toi, mon volcan.

Nalia se rendormit et passa une très bonne nuit. Elle s'éveilla et elle et sa mère firent connaissance. Elle parlère toute la nuit, comme si elles n'avaient jamais été séparée. Nalia lui raconta tout sur Orage et Foudre, sans oublier l'incident du grand sage. Ensuite, Anamanelle lui raconta aussi sa vie. Elle lui dit comment son père était mort. Tué par un puma. Elle lui parla du clan. Anamanelle avait tout de suite pigé le caractère de sa fille. Elle avait besoin de libertée, de partir a la recherche d'elle-même. De s'amuser. De rire et de foncer. Le clan dans Alecta était cependant tout le contrère de Nalia. Toujours calme et respectueux, leur plus grande valeur: le respect des règles. Nalia ne supportait les règles. Leurs devise: Toujours resté au même endroit, forge le caractère. 1. Nalia ne pigeait aucunement le sens de la devise. 2. Nalia voulais certe avoir un point de repère, une maison. Mais voyager faisais partie de ses plus grands projets. Anamanelle avait tout de suite compris cela. Au levé du soleil, elle avait donc dit a la belle jument:

-Part, mon volcan. Rejoins ton clan ou tu es libre de tes mouvements. Ici, le jugement est facile. Et je sais bien comme tu es. Sa saute au yeux ! Tu serais rejetée a cause de ta soif de voyager. Mais promet moi une chose: chaque mois, nous nous donnons rendez-vous ici a la tombé de la nuit, a la pleine lune. Promet le moi.

-D'accord. Je ne l'oublierais jamais. Au revoir. Je t'aime maman.Ce mot sonnait bizarre dans la bouche de l'heureuse jument. Mais il était tellement délicieux a dire !

-Moi aussi.

Après une longue étreinete de museau, Nalia repartit au loin sans se retourner. Elle voulait a tout prit retourner voir Maya qu'elle n'avait que trop négliger ces derniers jours.