Deux ami, en attente d'un choix.

Aidez moi, là haut s'il y a quelqun !
Réparez mon coeur,
Ralumez ma flamme,
Et recoller mes ailes !
J'ai vécu sauvagement,
Et voudrait maintenant,
Abandonnez ce que j'ai trouver,
À cause du simple mot aimer !
S'il vous plait,
Retirez moi mes plaies...
Faites les cicatriser,
Je n'en peu plus de saigner !
Perdu ma mère,
J'haie mon père...
J'ai un seul ami,¸
Encore la c'est peu être bientot fini,
Car tout deux avons envie,
Du même bonheur,
Tout deux voulon cette fleurs !

AIDEZ MOIIII ![i]

Foudre chantait cela à répétiton. Il était affamer. Mais cela lui importait peu. Assoifée. Plus de réconfort que d'eau. Fatigué. De souffrir. Il s'écroula en pleurant. Il détestait aimer. Mais ne pouvait s'en empêcher.

Tragedy arriva mais resta à l'écart, attendant d'entendre toutes les paroles de la chanson de son ami, pour savoir se qu'il ressentait. À la fin de la mélodie, Tragedy sortit de l'ombre pour lui dire:
-Foudre, je tiens à toi ! Et je sais que toi aussi.. Je n'ai pas l'habitude d'être aussi entêté mais la "Cette fleur" est magnifique... Sauf que si ça te blesse trop, je te laisserai vivre le parfait bonheur avec elle et... Je ne suis pas certain de se que je veux... Je ne suis sûr de rien... Alors, que veux tu vraiment?
Tragedy savait ce qu'il disait, il était désorienté, mais pour lui, le bonheur de son premier ami après Rambow lui importait plus que le sien, pour l'instant.

Les paroles de Tragedy réconfortèrent Foudre.
-Ce que je veux ? Son bonheur, le tiens aussi. Ce qui m'importe vraiment, c'est qu'elle fasse le choix qu'elle désire vraiment. Moi, j'ai toute ma vie devant moi pour m'en remettre. Toi aussi. J'ai du temps à revendre pour me trouver quelqun d'autre à aimer. Toi aussi. J'ai peur, tu sais. De te perdre, de la perdre de ne jamais retrouver maman. Oo ! En parlant de maman... Tu sais, peut être que vous pourriez bien vous entendre ? Hihi...
Foudre se sentait mieu. Il sourit à Tragedy. Un long baillement étira sa bouche. Doucement, il chanta:
Vous avez vu là haut ?
Il a recoller mes ailes en solo.
Merci d'avoie exaucer ma prières,
De m'avoir donné ce frère.
Peut être cela paraitra t'il étrange,
Mais merci pour cet ange.
Celui qui est juste ici,
Mon frère Tragedy...
Foudre soupira et s'endormit sans vraiment le vouloir. Avoir autant galoper l'avait épuiser !

[b]Malgré ce que croyait son ami, Tragedy ne dormait pas. Il s'était subtilement réveiller quand Foudre avait finalement sortit de son cauchemar. Puis, au moment où le poulain était venu se coucher contre lui, une vague apaisante c'était emparé de son coeur! Au moins quelqu'un dans cet univers, tenait à lui!

Champs de fleur. Herbe haute. Vent chaud. Ma crinière danse un ballet autour de ma tête. Au loin,Pluie d'étoile et Fana jouent. Plus loin, maman rit devant l'exitation de sa petite fille.
-Tonton Tragedy !! Arrête de te bourrer et viens jouer avec nous !
Tragedy lâche les herbes qu'il dégustait et saute sur les filles.
-Viens, papa Foudre !
J'arrive ! En réponse à l'appel de Tragedy, je saute dans le tas.
Foudre se réveille. Il sentit une vague déception devant la réalitée. Ce bonheur n'était qu'un rêve. Foudre retira le ppoid de sa tête du creu du dos de Tragedy. Croyant toujours que celui-ci dormait, il regarda autour de lui. Tout était de sable. Soudain, il eu un mirage. Sa mère au loin. Blanche et belle. Il sourit, conscien que c'était un tour que lui jouait son imagination. Foudre se mit à creuser avec énegie, en proie d'une soif soudaine.

Tragedy riait intérieurement! Voir un poulain essayer de subsiter seul, c'était illarant! Surtout Foudre!
Il est bien trop orgueilleux pour me réveiller!
Les yeux toujours clos, Tragedy souriait, mais puisque son ami était trop occupé dans sa recherche d'eau, l'étalon était certain qu'il n'avait rien remarqué. Une idée lui traversa l'esprit...
Voyant à quel niveau est son orgueil!
L'étalon se leva et s'approcha silencieusement de Foudre. Il se pencha près de son oreille et lâcha un,
-Bou!
Sonnard. Attendant la réaction de son ami, Tragedy riait toujours en fesant le moins de bruit possible!

Foudre sursauta. Son coeur fit trous tours dans sa poitrine. Il cria, et ses sabots touchèrent lourdement le sol. Sous la pression, de l'eau jahit. Mais le jeune étalon était bien trop sous le choc pour s'en redre compte ! Il se retourna et vit Tragedy. Il éclata de rire à son tour, admettant ainsi qu'il s'était bien fait avoir. Il oublia sa soif, et donna un coup de sabot amical sur le flanc de son compagnon.
-Elle est bonne, elle est bonne ! Tu ne dormais pas ? Foudre se sentit aussitot gêner. Son visàvis avait-il remarquer qu'il s'était coucher dans le creu de son dos, cherchant le réconfort ? il baissa les yeux. Im-bé-ci-le ! Tu t'es fait prendre à avoir peur comme une pouliche ! Allez, ce n'est pas si grave ! Tragedy est ton ami, il n'ira pas raconter cela à tout le monde ! Même si Foudre avait admis qu'il s'était fait avoir, même s'.il se diasait ces paroles réconfortantes... Il était quand même orgueilleux !!

Tragedy éclata d'un rire sinc`rement amusé et regarda son ami. Pour répondre à sa question il lui dans une sourire moqueur.
-Non, et malheureusement pour ton orgueil, j'ai remarqué que tu étais venue chercher du réconfort près de MOI! Non, ne t'en fait pas, je garderai sa secret!! Et, est-ce que tu cherchais de l'eau?

Foudre rougit sous sa ribe duveteuse. Il sourit timidement, conscient de s'être fait prendre. Quand Tragedy lui reparla de l'eau, il se souvitn de sa soif.
-Eh bien, oui mais... Ça n'a pas été un très grand succès ! Le jeune poulain était loin de se douter que j'aillissait en abondance une eua claire, à seulement un pas de lui !

Toundra dit doucement:
-je...je n en peut plus...
Elle s écroula contre le sable,elle était très faible.Elle entendit deux voie pensant que s était un mirrage avant de tomber dans les pommes.

Foudre entendit une voix et en oublia encore une fois sa soif.
-Tu as entendu, Tragedy ? Sa vien de la ! Foudre trotina jusqu'au bruit et resta sidéré... Une jument ! Il lui donna des petits coups de museau pour la réveiller.

-mhhh...mhhh ou suis-je? dit toundra surprise de voir un poulain.

Tragedy n'hésirta pas à suivre son ami. En voyant l'étrangère, il fut surprit, mias restant sympathique, il répondit à sa question.
-Bonjour, tu es au désert. Je suis Tragedy et voici mon ami Foudre. Est-ce que tu vas bien?
Tragedy resta calme, en attendant de savoir dans qu'elle état était la jument.

Foudre était tout mélanger, la soif plus puissante que jamais. Elle se tourna et quête de son trou. Quand il vit que l'eau coulait à flot, il se sentit imbécile.
-Excusez moi chers compagnons, je reviens. Il trotina jusqu'a l'abreuvoir improviser et bu. Ensuite, il revint vers son ami et l'étrangère. Qui est tu ? As tu mal à quelque part ?? Est tu dans les pommes ? Foudre était bien trop exité de sa nouvelle rencontre pour se rendre compte que sa phrase était dénuée de sens !

Foudre se sentait VRAIMENT imbécile, mais préféra ne rien dire pour ne pas se caler plus. Il ajouta tout de même.
-Ben, si elle est dans les pommes, elle nous répondras pas ! On fait quoi, si sa fait ça ?? Foudre était nerveux, ce qui rajoutait à son allure burlesque un peu de charisme

-mhhh...mhhh je...je vais bien enfin je crois.
Toundra avait tellement mal a la tete qu elle voiyait double.

Comme Foudre était extrêment insouciant, il éclat d'un rire contagieux.
-Ta réponse à encore moin de sens que ma question ! Mais, qui est tu ?
La gaieté de Foudre n'était point vexante, mais bien très marante. Ellle détendait l'atmosphère, et rapelait à quel point les poulains peuvent de déconnecté des problèmes rapidement.

-eh bien je...je m appelle toundra et je recherche mon frère et une famille.répondit elle gentilment au jeune poulain.

Foudre ne comprit pas la fin de la phrase de la jument.
-Pardonne moi la question mais.. Tu te cherches une famille ? Je comprend pas ! Foudre avait peur de vexée la jument, mais sa curiositée l'emportait.

-Eh bien je voudrais m intégrer dans un troupeau mais... je crains que ce ne soit possible.
Toundra avait peur d etre chassé si elle leur disait qui était sa seule famille.
Au loin les loups la regarder.

Foudre comprit très bien ce que ressantait la jument. Il eu un élan de compassion pour elle. Sans réfléchir, comme à son habitude, il dit:
-Si tu veux, nous serons ta famille. Avec deux étalons comme nous, tu ne crain plus rien ! Le jeune poulain grimaça pour amuser sa compagne Qu'en dit tu, Tragedy ?

-Moi, ça me va, mais Pluie d'étoiles... Ne l'oublit pas, quelqu'un entre nous deux, à un avenir avec elle!
Tragedy n'était plus mélancolique en parlant de son amie, mais il attendait la réponse de Foudre, ayant peur de l'avoir blessé...